La santé des citoyens reste l’une des priorités dans tous les pays. Les autorités ne cessent de mettre tous les moyens appropriés pour une meilleure prise en charge des patients, au niveau des centres hospitaliers, et mettre les moyens appropriés et les meilleures conditions qui mettraient les malades à l’aise, en leur prodiguant des soins dont ils ont besoin.
En Algérie, on accorde justement une grande importance à ce secteur devenu par la force des choses sensible, eu égard au fait qu’il reste l’un des rares ou l’erreur n’est pas permise. La protection et la promotion de la santé des citoyens deviennent l’une des priorités de l’état algérien. Un projet de loi sur la santé devait être présenté devant le conseil de la nation,par le ministre de la santé, de la population et à la promotion de la santé, H. Mokhrar en l’occurrence
En tant que droit, la santé est consacrée comme étant fondamentale. Dans le texte actuellement en vigueur et qui datait de l’année 1985, le premier responsable du secteur avouera que ce texte a permis d’améliorer les indicateurs généraux de santé, permettant aux citoyens d’en tirer profit de divers traitements en augmentant le niveau de couverture sanitaire.
Depuis, des reformes étaient envisagées et consacrées par le nouveau projet de loi, ou il y’a nécessité de préserver la gratuité des soins. Cette dernière est consacrée dans deux articles, au minimum. L’autre réforme est celle sur les droits des patients dans le domaine sanitaire.
Pour ce qui est du secteur privé, le ministre dirait qu’il faudrait qu’il y’ait une complémentarité avec le secteur public et ce dans le cadre d’un système sanitaire global.
A cet effet, le droit du malade en ce qui concerne notamment l’information sur sa maladie sera préservé, idem pour son droit de faire recours au recours du comité de conciliation et de médiation.