Condamné depuis 2018 pour trafic de cocaïne, l’opposant béninois Sébastien Ajavon se tourne vers le comité des droits de l’homme du Haut-Commissariat des Nations unies à Genève.
Exilé en France sous le statut de réfugié politique, l’opposant envisage pourtant la possibilité de participer à l’élection présidentielle d’avril prochain dont le dépôt des candidatures est prévu entre le 1er et le 4 février 2021.
Ses avocats demandent l’annulation de sa condamnation et la suspension de toute procédure judiciaire à son encontre.