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Cameroun : 13 parties politiques en lice pour les élections sénatoriales

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Selon Elections Cameroon (Elecam), l’organe chargé d’organiser les élections au Cameroun, 13 partis politiques sont en lice pour les élections sénatoriales du 12 mars prochain. Leurs dossiers ont été déposés le 28 janvier dernier au niveau des antennes d’Elections Cameroon (Elecam), l’organe chargé d’organiser les élections au Cameroun.

Sans surprise, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) au pouvoir, l’Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP), l’Union des mouvements socialistes (UMS), l’Union démocratique du Cameroun (UDC), le Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN), le Front pour le salut national du Cameroun (FSNC), l’Alliance nationale pour la démocratie et le progrès (ANDP), du Mouvement pour la défense de la République (MDR) et du Social Democratic Front, qui comptent chacun des conseillers municipaux, ont déposé leur candidature.

A côté d’eux, la Jeunesse démocratique du Cameroun (JDC) d’André Marie Dibamou a déposé des listes pour compétir dans la région du Centre. L’Union des populations du Cameroun (UPC) a déposé les dossiers pour entrer en compétition dans les régions du Littoral, du Centre, de l’Adamaoua et du Nord-Ouest. Seulement, ces partis politiques ne disposent pas de conseillers municipaux qui forment pourtant le collège électoral.

Le Front des démocrates camerounais (FDC) qui compte un seul conseiller municipal a également déposé sa candidature.  « Nous avons effectivement un seul élu, mais nous voulons vous rappeler qu’aux élections régionales, nous sommes sortis deuxièmes dans la Lékié avec 9 voix. Dans le Mfoundi, nous n’avions aucun élu, mais aux élections régionales nous avons eu 4 voix, ou dans le Nyong-et-So’o où nous avions eu 3 voix. Ceci pour vous démontrer que ce n’est pas forcément parce qu’on est militant d’un parti politique, et qu’on se retrouve élu, qu’on est obligé de voter pour son parti politique », développe Denis Émilien Atangana, le président national du FDC.

Prévue le 12 mars prochain, l’élection sénatoriale doit aboutir à l’élection de 70 sénateurs. A la suite de cette élection, le président de la République va procéder à la nomination de 30 autres sénateurs pour porter à 100 le nombre de représentants de la chambre haute du parlement. Plus de 30.000 conseillers municipaux sont appelés à voter.

Essama Aloubou




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