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Ce succès « post mortem » que DJ Arafat ne peut pas savourer

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De son vivant, la star du coupé-décalé a été célébrée par ses fans et adulée par de grands publics aux quatre coins du monde. Sur des podiums, le Yôrôbô a vécu des moments de gloire. A l’annonce de sa mort, les hommages continuent de pleuvoir ; mais le “Daïshikan” n’est physiquement pas là pour vivre cette effusion d’émotion.

En Côte d’Ivoire et à travers le monde, les fans de DJ Arafat et tous ceux qui aimaient sa musique lui manifestent un amour post-mortem sur les réseaux sociaux.

« Depuis hier, on n’a jamais vu autant de photos d’un artiste décédé sur les réseaux sociaux, que ce soit sur Instagram ou Facebook. Hier ce qu’on a vu sur les réseaux sociaux, ça dépassait l’entendement. Tout le monde voulait savoir, que ce soit la diaspora africaine du côté des États-Unis, de l’Asie, de l’Europe. C’est venu un peu de partout », témoigne Mory Touré, animateur de la webradio culturelle Radio Afrika et chroniqueur sur RFI.

Pour Mory, la disparition de DJ Arafat a rassemblé de nombreux Ivoiriens que tout ou presque divisait. « La mort d’Arafat va susciter un vent de réconciliation en Côte d’Ivoire parce qu’il y a deux choses aujourd’hui que la Côte d’Ivoire recherche, c’est sa réconciliation et sa stabilité », renchérit-il.

D’après les propos de l’un de ses fans rapportés par rfi.fr, « Il n’est pas mort. C’est son esprit qui est parti, mais il est bien en nous. Arafat, il ne peut pas mourir. Il vit toujours. un artiste ne meurt jamais. Si vous tapez sur Youtube, Facebook ou n’importe quoi, tapez « Daïshi » seulement et il est là ! Il va régner jusqu’à la fin du monde ! ».




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