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Coupe Davis: Nicolas Mahut et Pierre-Hugues Herbert confiants pour la finale

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Battus en finale du Masters en double, Nicolas Mahut et Pierre-Hugues Herbert se préparent pour la finale de la Coupe Davis contre la Croatie. Malgré leur défaite, ces joueurs Français restent confiants contre les Croates.

« La défaite en finale du Masters est beaucoup plus facile à gérer que je ne le pensais. Si ça avait été le dernier match de l’année, il y aurait eu quelques jours difficiles. Là, l’objectif est tellement plus grand. Il va juste falloir trouver le bon dosage aux entraînements. J’ai bon espoir que le passage sur terre battue se fasse bien. La seule règle, c’est de se donner à 100 % aux entraînements. On n’a pas rejoué de tournois sur terre depuis Roland, mais on peut se baser sur la confiance accumulée au Masters. Est-ce qu’on va être aligné ensemble avec Pierre Hugues ? J’ai toujours pensé que l’équipe de double était une équipe dans l’équipe. On a plus de chance de bien jouer quand on passe du temps ensemble. Depuis Bercy, ça fait deux semaines qu’on ne s’est pas lâché avec Pierre-Hugues. Les meilleurs matches que j’ai faits en Coupe Davis, c’est quand j’ai pu me préparer. C’est la dernière. Il n’y aura plus jamais de finale de Coupe Davis. C’est ma dernière chance. Ça fait trente ans que je l’attends. Il va falloir gérer émotionnellement cette excitation », a déclaré Nicolas Mahut.

Selon Pierre-Hugues Herbert, il faudra bien gérer le temps. « Il faut voir le positif et retenir nos belles prestations à Londres. Si on est sûr d’être aligné en double ? Cette forme de sérénité peut être dangereuse. Je suis sur le qui-vive. Chez les Croates, je vois bien Dodig-Pavic. Les simples sur terre battue vont être difficiles, accrochés. Il faudra voir comment Cilic va se sentir après son premier match. Mais après le Masters et le changement de surface, ça peut être difficile pour lui. Avant d’aller au Masters, j’avais tapé un peu sur terre pour renouer avec les glissades, les faux rebonds, les trajectoires bombées. Maintenant, le gros challenge, ça va être de gérer le temps qu’il faut pour faire le plein des batteries et arriver avec les bonnes sensations », a – t-il dit.




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