Selon une étude parue dans la revue britannique British Medical Journal, seulement 4% sur plus de 2000 articles publiés entre le début de la pandémie et septembre dernier ont été rédigés par des chercheurs africains.
Même si le continent africain a été jusqu’ici relativement épargné par la pandémie, cette absence des chercheurs africains sur le terrain des recherches scientifiques risque de fragiliser la réponse à la pandémie en Afrique.
Le British Medical Journal souligne l’importance de la contribution des chercheurs africains pour servir de boussole aux politiques de santé.