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France: Macron remet de l’ordre dans son service de communication, voici les couacs relevés !

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Eté tumultueux, affaire Benalla, popularité en baisse…un changement radical s’impose dans la cellule de communication du président français Emmanuel. Ainsi en a décidé l’Elysée, ce mercredi.

Une réorganisation qui devrait permettre à l’administration Macron de repartir d’un meilleur pied en cette rentrée agitée, d’éviter à l’avenir d’éventuels couacs et de gérer au mieux les crises au sommet de l’Etat.

A en croire BFM TV, la toute première victime de cette réorganisation demeure Bruno Roger-Petit, qui doit quitter ses fonctions de porte-parole de la présidence de la République qu’il occupait depuis un an. L’intéressé a quant à lui apporté un démenti auprès de LCI dans l’après-midi de ce mercredi, souligne la même source.

Selon Les Echos, c’est à Sylvain Fort, son actuelle plume et son conseiller communication durant la campagne présidentielle, qu’Emmanuel Macron aurait décidé de confier la communication de l’Elysée. Le site d’informations ajoute que ce dernier sera secondé par Sibeth Ndiaye, conseillère presse au Palais.

Le Figaro affirme pour sa part que le jeu de chaises musicales concerne également la cheffe du service presse de l’Elysée. Ainsi, Marion Burlot est transférée au service d’information du gouvernement (SIG).

Les limites du dispositif de communication actuel de l’Élysée 

Alors que l’affaire Benalla avait écorné l’image de Macron auprès des Français selon plusieurs enquêtes d’opinion, son long silence a laissé dubitatif.

Son hésitation sur sa volonté de mettre en application ou non, en janvier 2019, le prélèvement de l’impôt sur le revenu à la source, représente également un dysfonctionnement majeur.

Enfin, les errements de Bruno Roger-Petit en sont pour quelque chose.

Le 19 juillet, rappellent nos confrères de BFM TV, alors que la tempête secouait déjà fortement l’équipe d’Emmanuel Macron, Bruno Roger-Petit, qui signait là sa seule intervention de la sorte, expliquait qu’Alexandre Benalla avait été mis à pied en mai par l’Elysée pendant quinze jours, avec retenue de salaire, des éléments remis en cause dans les jours suivants.

 

 

 




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