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Le Cames, le frein qui ralentirait le développement de l’Afrique ?

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La première instance de l’enseignement supérieur de l’Afrique Francophone est mise à nue par deux professeurs béninois. La parution de l’essai « Le Cames, une nébuleuse qui entrave l’essor du Bénin et de l’Afrique » des Professeurs Mohamed Chérif-Deen Rahimy et Oladé Okunlola Moïse Lalèyè secoue violemment l’institution.

Résultat de cinq années de recherches et d’investigations, l’ouvrage tient sur 191 pages, scindé en deux grands livres. Respectivement intitulé « le Cames, une institution sans visage », et « le Cames, le mal à conjurer immédiatement », l’œuvre est un ensemble de témoignages qui étales les pratiques peu recommandables de cette institution de renom. Grâce aux éditions « Secret des Arts », l’œuvre est disponible depuis le 25 avril dernier.

Le conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur qui a pour rôle de coordonner les systèmes d’enseignement supérieur et de la recherche afin d’harmoniser les programmes, les niveaux de recrutement dans les différents établissements d’enseignement supérieur, serait un vrai outil de domination. « Une simple scrutation à la fois sommaire et approfondie des lettres du Statut du Cames, permettra de révéler toute l’illégalité et l’illégitimité dans cette mystique institution … en dépit de l’apparence que projette l’édifice servant de son siège dans le pays des hommes intègres à Ouagadougou », peut-on d’après plusieurs sources lire à la page 73.

Les auteurs présumés victimes chacun des turpitudes de l’institution espèrent par cette sortie tirer la sonnette d’alarme.« Le Cames est définitivement nu, tout colmatage pour le sauver demeurera l’une des plus ignobles trahisons de la génération présente, imputable à l’élite nationale et africaine. Elle ne sera jamais pardonnée par l’histoire » écrivent-ils pour conclure l’oeuvre.

Pour l’heure, le Cames n’a fait aucune déclaration en réponse à ces allégations.




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