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Le « NON » catégorique du gouvernement burundais à la CPI

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burunComme beaucoup le pressentaient, le gouvernement burundais n’a pas dit son dernier mot à la Cour pénale internationale (CPI). Ils étaient nombreux à jubiler par rapport à l’enquête ouverte sur le Burundi conformément à l’annonce faite par la CPI le 09 novembre dernier.

« Le gouvernement du Burundi croyait qu’il avait échappé à la justice internationale en se retirant de la CPI. Cette décision est une grande victoire pour le peuple burundais”, affirmait un membre d’un collectif international d’avocats pour les victimes des crimes commis au Burundi.

La CPI avait intimé au gouvernement burundais de collaborer en vue de rendre justice aux victimes des violences survenue entre 2015 et 2017. La réponse de la Burundi n’a pas tardé.

Avec une fermeté sans réserve. Le fait d’avoir appris cette information “par les médias 14 jours” après la décision de la cour, “vient confirmer encore une fois la politisation des droits de l’homme et de la justice internationale, ainsi que la tentative de déstabilisation des pays africains (…) par les forces néo-colonialistes”, a souligné la ministre de la justice Mme Laurentine Kanyana.

“En tout état de cause, le Burundi n’ouvrira jamais la coopération avec la CPI dans la mise en œuvre d’une décision qui a été prise en violation du Statut de Rome et des principes du droit international”, a martelé à la fin la ministre de la Justice.

Eh bien, les épisodes de ce feuilleton promettent.




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