En Centrafrique, une fraction des électeurs sont appelés aux urnes depuis ce dimanche 14 mars matin, pour le second tour des élections législatives. On vote aussi dans les circonscriptions où le premier tour de scrutin, le 27 décembre dernier, a été annulé ou empêché pour des raisons de sécurité. À la mi-journée de ce dimanche, aucun incident majeur n’a été signalé même si la Minusca confirme que le vote a été empêché dans certaines zones du pays.
Question sécurité, rien à signaler. La force onusienne Minusca et les forces de sécurité intérieures sont déployées.
Les personnes rencontrées par RFI, affirment ne pas avoir craint pour se déplacer pour aller voter.
À propos du déroulement de ces législatives centrafricaines, un premier bilan est dressé en cette mi-journée par le réseau Arc-en-ciel.
Le plus vaste réseau d’observation de la société civile est plutôt positif, à ce stade.
Selon l’abbé Fréderic Nakombo, son coordonnateur, il n’y a pas d’incidents majeurs et plutôt de l’engouement dans des villes telles que Bossangoa, fief de l’opposition, où le premier tour n’avait pas eu lieu.