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Six (6) soldats maliens ont trouvé la mort mardi dans l’explosion de mine anti personnelle dans le centre du Mali. Même si ce drame n’a été pas encore été revendiqué, les autorités maliennes y voient les mains des terroristes.
« C’est un véhicule de la gendarmerie de la localité de Dialloubé (à environ 300 km à l’est du premier incident) qui a sauté sur une mine. Les trois blessés sont décédés », a affirmé cette source sécuritaire citée par Jeune Afrique.
Le colonel Diarran Koné, directeur de l’information et des relations publiques de l’armée malienne appelle les populations à plus de collaboration avec l’armée afin de venir à bout des terroristes.
Le 1er mars une mine a sauté avec un véhicule faisant 9 morts.
Selon BBC Afrique, un camion transportant de forains a sauté sur une mine près de Boni, toujours dans le centre du pays en janvier 2018.
Vingt-six civils avaient été tués. C’est le bilan le plus lourd enregistré dans les incidents liés aux mines et autres engins explosifs ces dernières années dans le pays.
