BizME.fr Freelances, plus forts ensemble.
Accueil / Pays / Maghreb / Egypte / Mondial 2018: découvrez combien toucheront les sélectionneurs des équipes africaines

Mondial 2018: découvrez combien toucheront les sélectionneurs des équipes africaines

Partagez ceci :

Les salaires des entraîneurs des pays africains sont en hausse à l’image des émoluments pratiqués dans le monde du football. Cependant, ils restent bien inférieurs à ceux de leurs homologues occidentaux.

Pour s’en rendre compte, aucun sélectionneur d’Afrique ne fait partie du Top 20 des entraîneurs les mieux payés au monde. Et s’il faut se prêter à l’exercice de comparer rien que les salaires des coaches des 32 pays engagés pour le mondial russe, là aussi, les contrés de la zone CAF sont au bas du classement. Pour les managers des nations qui représenteront le continent africain en Russie, les salaires mensuels oscillent entre 9 et 50 millions de F CFA.

Sur la base des informations disponibles, voici les salaires des sélectionneurs des 5 nations africaines du Mondial 2018.

Hervé Renard (Maroc)
Avec un contrat valable jusqu’en 2022, le français arrive en tête des sélectionneurs les mieux payés des pays africains engagés au mondial russe. Le sélectionneur national du Maroc, percevrait, d’après Le360 Sport, 48 millions de F CFA par mois (hors primes).

Gernot Rohr (Nigeria)
Dans la foulée de la qualification des Super Eagles à la coupe du monde, le technicien allemand a prolongé, fin 2017, son contrat avec la fédération de football du Nigeria. Il est lié avec les aigles jusqu’en 2020. Avec 23 millions de F CFA par mois (sans compter les primes), il est le deuxième meilleur salaire, selon les sources.

Hector Cuper (Egypte)
L’ancien international argentin a qualifié les Pharaons d’Egypte à la fête mondiale du football après 28 ans d’absence. Finaliste malheureux à la CAN 2017, il a été couronné, le 4 janvier 2018, entraineur de l’année au CAF Awards. L’ancien entraîneur du club espagnol de Valence, émarge à près de 20 millions F CFA par mois en dehors d’intéressantes primes.

Nabil Maaloul (Tunisie)
Revenu à la tête des Aigles de Carthage quatre ans après un premier passage sur le banc, Nabil Maaloul a qualifié la Tunisie pour la Russie après que son équipe ait manqué les deux dernières éditions. Avec 15 millions F CFA comme salaire, cet ancien joueur de l’Esperance de Tunis dit s’intéresser aux victoires qu’à l’argent.

Aliou Cissé (Sénégal)
Avec ses 9 millions de F CFA par mois, Aliou Cissé, le sélectionneur du Sénégal, est le moins bien payé des cinq. L’ancien international sénégalais espère un renouvellement de son contrat puisque celui-ci expire dans un an.




Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Traduction »