Novo ângulo do atentado a Bolsonaro. pic.twitter.com/KAX9F1J9XP
— Blog do Noblat (@BlogdoNoblat) 6 septembre 2018
L’affaire a bien sûr une répercussion immédiate sur la campagne. « Jair Bolsonaro ne pourra participer ni à des réunions publiques, ni à des débats pendant plusieurs jours. A la radio et à la télévision, il ne dispose que de quelques secondes de campagne officielle par jour, son parti n’ayant que huit députés », a indiqué RFI.
Pour rester visible et maintenir la mobilisation, ce denier n’a d’autre choix que de compter sur ses militants et sur les réseaux sociaux.
Quand l’agresseur, immédiatement arrêté, il a été identifié comme un homme de 40 ans qui a milité au sein du parti de gauche PSOL de 2007 à 2014.
L’assaillant Jair Bolsonaro a dit avoir agi « pour raisons personnelles » et « sur l’ordre de Dieu », selon un rapport préliminaire de la police militaire, cité par plusieurs médias nationaux et internationaux.
“Foi Deus que mandou” pic.twitter.com/nDI5hr3WrB
— Blog do Noblat (@BlogdoNoblat) 7 septembre 2018