Alors que l’élection présidentielle est prévue en avril prochain, des manifestations ont été organisées à Ndjamena et dans d’autres villes pour contester une nouvelle candidature du président Idriss Déby.
Selon la Commission tchadienne des droits humains, une centaine de personnes ont été arrêtées dans tout le pays dans le cadre de cette marche interdite par les autorités. Elles sont inculpées pour troubles à l’ordre public, atteinte à l’intégrité des agents et destruction des biens publics.