BizME.fr Freelances, plus forts ensemble.
Accueil / Affaires / Togo : lancement de la campagne de commercialisation de la noix de cajou brute 2020

Togo : lancement de la campagne de commercialisation de la noix de cajou brute 2020

Partagez ceci :

Le ministre de l’Agriculture, de la production animale et halieutique (MAPAH), Koutéra Noël Bataka, a lancé vendredi à Lomé la campagne de commercialisation de la Noix de Cajou Brute (NCB)/2020. Les exportateurs sont au nombre de 20 reconnus officiellement pour exercer les activités d’exportation en toute légalité.

Top départ pour la campagne de commercialisation de la Noix de cajou sur toute l’étendue du territoire national.

Il s’agit d’une campagne au cours de laquelle le prix planché bord champ est à 325F CFA le kg par l’ensemble des acteurs des cinq familles de la filière.

Ce prix est proposé par les acteurs en fonction de la tendance des prix au plan international. Le prix d’un plant polygonal  est égal à 300FCFA et le plant greffé est égal à 550FCFA. Ces dispositions visent à préserver l’intérêt de la filière et de ses acteurs.

L’achat des noix de cajou sur toute l’étendue du territoire national est subordonné à l’obtention d’une carte d’acheteur ou de sous-acheteur et un agrément d’achat.

Les différents acteurs impliqués dans la commercialisation des noix de cajou ont tous répondu à l’appel du ministre de l’Agriculture, de la production animale et halieutique, monsieur Koutéra BATAKA, pour la 4ème édition de la campagne de commercialisation des noix de cajou.

« Les contrevenants seront sanctionnés par la loi en vigueur : notamment les arrêtés interministériels portant réglementation de la commercialisation de la noix de cajou et ses produits dérivés au Togo. De même, l’exportation de la noix de cajou est subordonnée à l’obtention d’un agrément d’exportation », a souligné monsieur GOZAN Komlan Mawuko, président du conseil d’administration du conseil interprofessionnel de la filière anacarde du Togo.

«Les noix de cajou constituent pour notre économie une source non-négligeable. Il est du devoir du Gouvernement de réguler, d’encadrer et d’accompagner les filières », a souligné le ministre.

Il a invité tous les acteurs à cultiver l’entente, l’union pour le développement durable de cette filière.




Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Traduction »