La Tunisie garde toujours de bonnes relations avec les pays du monde. De par le rôle que ce pays joue sur la scène maghrébine surtout mais aussi africaine, des pays d’outre-mer s’intéressent de plus près à des relations bilatérales étroites.
Le ministre français de l’Europe et des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian a effectué une visite dans ce pays du Maghreb dans la journée d’hier lundi, où il a été reçu au palais de Carthage par le président de la république Tunisienne, en l’occurrence Monsieur Béji Caïd Essebs.
Le chef de la diplomatie française se trouvait en Tunisie pour une visite de travail dans ce pays. Une visite qui s’inscrit dans le cadre du suivi de l’exécution de la feuille de route, commune élaborée à l’issue de la visite d’état effectuée en février dernier par le président français, Emmanuel Macron, en Tunisie. Une visite qui prévoit de la coopération dans plusieurs domaines, qu’ils soient économiques ou autres.
L’hôte de la Tunisie aurait en cette occasion réaffirmé l’engagement de son pays (La France) à continuer de se tenir aux côtés de la Tunisie dont le but est de jouer un rôle majeur qui concerne les deux pays, à travers une garantie effective de la sécurité et la stabilité de la région à travers. Ceci pourrait se faire par le renforcement de la coopération bilatérale dans tous les domaines et plus particulièrement en matière de lutte contre le terrorisme et la migration que les observateurs politiques et des sociologues qualifient d’irrégulière.
A cet effet, le pays hôte et à travers son président B.C.E se serait félicité de la solidité des relations stratégiques entre son pays et la France. Des relations importantes qui requièrent entre autres l’intensification de la coordination ; et ce à travers le suivi de l’application de tous les programmes de coopération commune. Comme ça serait aussi une manière de soutenir les efforts de ce pays du Maghreb.
Ces efforts qui viseraient entre autres à consacrer son processus démocratique, surmonter les difficultés économiques et réaliser la prospérité économique et sociale attendues. Enfin, les deux parties ont passé en revue les derniers développements en Libye, avec un règlement politique envisageable, qui garantirait la stabilité dans ce pays et dans la région.