BizME.fr Freelances, plus forts ensemble.
Accueil / Politique / Turquie-France, le match de la haine

Turquie-France, le match de la haine

Partagez ceci :

Ce n’est pas anodin lorsque l’on regarde l’influence que la Turquie voudrait prendre en France dans certains domaines. Quelles sont les réactions de l’exécutif ?


Extrait  » […]Mais, cette fois, il s’agit d’un pays qui fait partie de l’OTAN et ne cesse pas, depuis 1987, de se porter candidat pour adhérer à l’Union européenne.

Il fallait voir les joueurs français, qui chantaient tous l’hymne national – ce qui ne fut pas toujours le cas ! –, rester impassibles devant les huées et les sifflets. Le match entamé, chaque fois que l’un d’entre eux touchait le ballon, il était conspué et sifflé. Le vacarme était tel que Pogba, à un moment, fit signe à ses partenaires qu’il ne les entendait pas. À la télévision, cet incessant bruit de fond ne sanctionnait pas la mauvaise prestation des Français, mais la France elle-même.


On attend toujours, à l’heure où cet article est écrit, une réaction officielle du gouvernement. Le Rassemblement national a aussitôt réagi comme il le fallait, notamment Marine Le Pen, Nicolas Bay et Jordan Bardella. Notons, aussi, l’indignation de la députée LR des Bouches-du-Rhône, Valérie Boyer.

« Siffler un hymne national, en l’occurrence la Marseillaise, est toujours une honte, un affront et l’inverse des valeurs de fair-play », a déclaré la présidente du RN sur Twitter, en réclamant des sanctions contre la fédération de football turque.

De l’eau au moulin du Rassemblement National ?

La tête de liste du RN aux élections européennes a, de son côté, rappelé que:

« les valeurs du sport, c’est notamment le respect de l’adversaire et de son hymne national ». Même si ce chahut est plus un signe de bêtise qu’une marque réfléchie d’hostilité envers la France, on ne peut s’empêcher de penser qu’il n’est pas sans lien avec le caractère irréconciliable entre deux types de société, voire de civilisation. De tels incidents devraient être condamnés par les plus hautes autorités de l’État. Ils devraient, pour le moins, les inciter à la prudence lorsqu’elles négocient avec un pays qui s’islamise de plus en plus et méprise les valeurs occidentales.[…].« 

La rédaction




Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Traduction »