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Intelligence artificielle : pour une Afrique actrice et non spectatrice

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Selon certaines estimations établies au sommet de l’IA au Rwanda en avril dernier, l’intelligence artificielle pourrait rapporter 2 900 milliards de dollars à l’économie du continent d’ici 2030. Mais l’Afrique ne pourra véritablement en bénéficier que si elle travaille à garantir sa souveraineté numérique et technologique.

Pour Cheikh Diba, ministre sénégalais des Finances et du Budget, l’IA pourrait favoriser la création d’emplois et accélérer la croissance économique en Afrique.

Mais l’Afrique ne doit pas se contenter d’être un simple « marché » pour les technologies étrangères. « Elle doit devenir un acteur actif », a-t-il affirmé, soulignant l’importance de développer les infrastructures numériques, mais aussi de former les populations à un usage inclusif et bénéfique de l’IA, rapporte Le Soleil.

Le pape nouvellement élu a également lors de sa première audience officielle invité l’Afrique à construire « une intelligence artificielle capable de répondre à des problématiques d’énergie, de connectivité et de langue ».

« L’intelligence artificielle requiert une certaine responsabilité pour qu’elle soit réellement au service de l’humanité tout entière », a indiqué le Pape Léon XIV le lundi 12 mai dernier.

Alors que seulement 2 % des données collectées sont stockées sur le continent, l’enjeu de la souveraineté numérique est de taille.




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