Au Cameroun, l’opposant Cabral Libii dénonce un « acharnement » de la part des autorités.
Depuis six mois, les déconvenues se multiplient pour ce dernier, déclaré troisième à la présidentielle de 2018 et qui ne cache pas ses ambitions pour 2025.
Dernier épisode : ce dernier est exclu des traditionnels défilés du 20 mai à l’occasion de la fête de l’Unité nationale.
Depuis, l’intéressé accuse les autorités, en particulier le ministre de l’Administration territoriale, d’être à la manœuvre.
Cabral Libii parle de « persécution » pour l’empêcher de se présenter en 2025 en le privant d’appareil politique.