Interrogée par la presse locale, Josey s’est exprimée sur un sujet qui intrigue ses fans : l’interdiction formelle faite par Serey Dié de danser le mapouka en public.
Josey : « Serey Dié aime ça et ne veut pas que ça se voie partout »
Sans détour, la chanteuse a répondu avec franchise à la question : « Je vais vous répondre comme une vraie Ivoirienne : quand on aime quelque chose, est-ce qu’on a envie de la voir exposée partout ? Bien sûr que non. » Pour elle, l’attitude de son compagnon n’est pas un signe de jalousie excessive, mais une preuve d’attention et de respect.
Elle poursuit : « Chez nous, les Ivoiriens, il y a une fierté, un ego discret. Quand on tient à quelque chose ou à quelqu’un, on préfère que cela reste un peu exclusif, à l’abri des regards. »
Pour illustrer son propos, Josey fait une comparaison évocatrice : « Quand tu es fou d’un parfum, tu n’as pas envie que tout le monde le porte n’importe comment. C’est pareil pour une tenue : quand tu l’aimes, tu veux qu’elle garde une certaine rareté, qu’elle ne soit pas banalisée. »
D’après elle, l’ancien capitaine des Éléphants de Côte d’Ivoire agit simplement par amour et par instinct de protection : « Il protège ce qui lui est cher. Et moi, j’apprécie vraiment cette manière qu’il a de me préserver. Ce refus qu’il a de me voir danser le mapouka en public, c’est sa façon de dire que je suis spéciale à ses yeux. C’est sa “chasse gardée”… et j’adore ça. »