Africa Top Success Ils font l'Afrique
Gadji Celi, une légende de la musique ivoirienne, a exprimé son opinion sur sa chanson intitulée « Les Torpilleurs ».
Dans la chanson, l’artiste déclare qu’il ne s’attaquait pas à son collègue Ismaël Isaac. Gadji Celi a déclaré qu’il était principalement la victime de l’histoire.
Celui que les riches gros bras du quartier de l’époque étouffaient en raison de sa renommée. La célébrité tranquillise ses admirateurs concernant ses relations avec son jeune frère.
« Le gawa, le vilain, c’est moi que mes détracteurs torpillaient de la sorte
À l’époque, je jouais au ballon. J’étais très en vue et très courtisé par les femmes. J’avais donc beaucoup de prétendantes. Du coup, je faisais beaucoup de jaloux au quartier.
Les grands-frères du quartier qui étaient très aisés partaient donc me torpiller chez ma copine. Ils racontaient que j’étais trop gawa, vilain pour qu’elle puisse accepter de sortir avec moi.
En fait, dans cette chanson, c’est moi la victime. C’est moi que les détracteurs traitaient de vilain garçon, de gawa. C’est moi qu’on torpillait.
Sur le même album où figurait cette chanson Les Torpilleurs, il y avait aussi un hommage à King Solo mon frère handicapé.
À cette période, j’étais ambassadeur de L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Alors, pourquoi vais-je m’attaquer à mon jeune frère Ismaël Isaac en lui lançant des piques à travers une chanson ?
Entre lui et moi, il n’y a aucun souci. Nos relations sont au beau fixe », raconte Gadji Celi.
