Même dans l’au-delà, la voix de Johnny Hallyday résonne ! Difficile pour ses millions de fans à travers le monde de résister à son album posthume, très attendu dans les bacs.
Eh bien, il sortira le 19 octobre prochain sous un titre évocateur qui prône les valeurs de sa France natale: « Mon pays, c’est l’amour ». Un opus décrit comme l’album de sa vie.
Selon Sébastien Farran, le manager de Johnny Hallyday, cet album est « le plus personnel » du rockeur. « C’est l’album de sa vie », avait-il déclaré en mars dernier.
Jean-Claude Camus, l’ancien producteur du rockeur estime pour sa part que : « cet album est un message d’amour à Laeticia. C’est une bombe. Il va tout balayer. Il est plein de messages. »
La Warner, la maison de disque du Taulier, vient d’en dévoiler la pochette. Un cliché de Johnny Hallyday t-shirt blanc et tatouages apparents, en noir et blanc, illustre cette pochette.
« Mon pays c’est l’amour », sortie le 19/10 prochain de l’ultime album studio de @JohnnySjh pic.twitter.com/pyjhBYscB9
— Philippe Dufreigne (@PDufreigne) 6 septembre 2018
David Hallyday et Laura Smet, les deux premiers enfants de Johnny, ont réclamé un droit de regard sur le disque, informe BFM TV. qui souligne que la justice les a déboutés, estimant que le chanteur avait terminé d’enregistrer l’album, avant sa mort le 5 décembre 2017, et qu’il avait lui-même validé les 10 titres qu’il recèle.
BFM TV précise par ailleurs que ce disque a été réalisé par Maxime Nucci, dit Yodelice, le collaborateur attitré des derniers albums de Johnny. Des artistes comme Miossec et Yarol Poupaud ont contribué à sa création.
« Mon pays, c’est l’amour » sera composé de dix titres: Made in rock n roll, Mon pays, c’est l’amour, L’Amérique de William, 4m2, Back in L.A., J’en parlerai au diable, Pardonne-moi, Je ne suis qu’un homme, Tomber encore et Un enfant du siècle.
A noter que l’annonce de la sortie de cet album intervient au moment où le bras de fer judiciaire entre Laeticia et David Hallyday et Laura Smet n’est par ailleurs pas terminé.
Ces derniers, faut-il le rappeler, s’estiment « déshérités » par le testament de leur père, rédigé en 2014 sous l’empire du droit américain. Une première audience est prévue le 22 novembre en France pour débattre de la compétence du tribunal.