C’est un sujet tabou mais qui fait rage: la pornographie. Les films X s’offrent de nos jours avec une certaine facilité notamment avec l’avènement du numérique. Le phénomène a pris une ampleur vertigineuse avec des millions de vidéos et images obscènes, disponibles en un clic sur les smartphones.
Constamment relayés sur les réseaux sociaux notamment dans des groupés fermés, les films à caractère pornographique se classent parmi les vidéos les plus visionnées via l’internet à travers le monde.
Selon des statistiques publiées chez nos confrères de Damn Cool Pictures, il ressort que « chaque seconde 28, 258 internautes sont en train de visionner du porno : et chaque seconde toujours 3,075 dollars sont dépensés en abonnements divers à des sites peu convenables (sites de cul) ».
Dans une récente étude menée par une agence qui a requis l’anonymat, une bonne partie des enquêtés affirme de n’avoir « jamais » visionné du porno. D’autres admettent de ne l’avoir regardé qu’une seule fois. Une autre catégorie de personnes avance que cela va l’encontre de leur religion. Mais, à en croire la même source, les donnés confidentiels recueillis sur certains sites célèbres de films X en démontrent tout le contraire.
Voici un extrait des statistiques. Attention ! Les chiffres sont hallucinants…
1 visiteur sur 3 est une femme : ou un homme qui portait une perruque lors du sondage. On fait ce qu’on peut pour justifier ce chiffre assez élevé.
La production américaine de porno rapporte $2,84 milliards par an : ce qui représente plus de la moitié des revenus du secteur dans le monde entier. Une fierté de plus…
Le porno représente 8% de la totalité des emails : ça correspond à 2.5 milliards d’emails soit 19 tonnes, l’équivalent du poids de 3 éléphants d’Afrique bien nourris.
25% de toutes les requêtes des moteurs de recherche sont en relation avec la pornographie : et le terme le plus recherché est le très sobre et implicite « sex ».
34% des internautes ont été exposés involontairement à une forme de pornographie par le biais de pop up, mails et autres liens malhonnêtes : et selon nous, les trois quarts ne sont pas mécontents et prennent leur temps pour fermer la page en question
Un enfant visionne son premier boulard à un âge moyen de 11 ans : à croire que les pictogrammes utilisés pour signifier la limite d’âge conseillée sont là pour faire des claquettes.
1 homme sur 5 admet visionner du porno au boulot : même quand leur métier n’a aucun rapport avec l’industrie pornographique. Seules 3 femmes sur 20 sont concernées par ce véritable fléau.
La consommation de porno est au plus bas le jour de Thanksgiving : qui est un jour comme les autres pour la majorité des pays du monde. On se rend donc compte que lorsque les Américains calment leur conso, les statistiques mondiales prennent un coup.
12% des sites internet sont des sites à caractère pornographique : soit à peu près 1 site sur 10. Ça explique, en partie les chiffres précédents : une fois qu’on a surfé sur les 9 autres sites, il est bien normal de fréquenter un peu le dixième. Enfin les 24.644.172 dixièmes.
(bonus) En 2037, tout le monde aura joué dans au moins un film à caractère pornographique : statistique certainement erronée (car nous venons de l’inventer), mais amusante, n’est-ce pas?