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La situation épidémiologique liée à la variole du singe (Mpox), plus d’un mois après la confirmation du tout premier cas le 16 mai 2025, appelle à la vigilance alors que 31 cas ont été confirmés dont 12 guérisons. Aucun décès n’a été signalé à ce jour, selon les autorités sanitaires.
En tout, 141 cas suspects ont été comptabilisés, incluant 27 nouvelles suspicions récemment identifiées. Le nombre de personnes contacts continue d’augmenter avec 59 nouveaux cas, portant à 318 le cumul total depuis l’apparition de la maladie au Togo.
Dans ce contexte, la méthode à adopter est la prévention, la surveillance active et la communication de proximité.
« Nous sommes à pied d’œuvre pour que l’issue soit favorable. Le but est d’éviter un scénario comparable à celui du Covid-19. Plus tôt les cas sont détectés et pris en charge, plus vite on casse la chaîne de transmission », a déclaré le Professeur Sika Dossim, coordonnatrice adjointe de la cellule de riposte, citée par une source locale.
Maladie virale contagieuse à transmission interhumaine, la variole du singe est caractérisée par une fièvre, des éruptions cutanées, des douleurs musculaires, un gonflement des ganglions et l’apparition de vésicules (boutons) sur la peau. La transmission se fait par contact direct avec une personne infectée, un animal porteur ou des objets contaminés.
Toute personne qui présente un symptôme suspect doit être signalée.
Il est recommandé d’éviter les contacts étroits avec des personnes présentant des lésions cutanées et à maintenir une hygiène rigoureuse.
