En Centrafrique, la campagne pour le référendum constitutionnel a été officiellement lancée samedi 15 juillet à Bangui par le président Faustin-Archange Touadéra.
Plusieurs milliers de sympathisants du Mouvement cœurs unis, le parti de la majorité présidentielle, étaient à ce meeting.
Durant deux semaines, les partisans du « oui » et ceux du « non » devront convaincre les Centrafricains.
Pendant ce temps, le Bloc républicain pour la défense de la Constitution, composé d’opposants et d’acteurs de la société civile, estime que la modification de la loi suprême envisagée par le pouvoir menace la légitimité du pays.
Cette plateforme a décidé de ne pas s’engager dans la campagne et de ne pas participer au référendum prévu le 30 juillet.
Avec RFI