L’Anopheles Stephensi, un moustique en provenance d’Asie, est le principal vecteur de paludisme en Afrique de l’Est et contribue à la recrudescence de cas de maladie. Pour y faire face, Djibouti expérimente une technique originale.
Des moustiques génétiquement modifiés sont régulièrement libérés toutes les semaines au cours de ces derniers mois dans le cadre d’un projet pilote.
Grâce à la société britannique Oxitec, des moustiques mâles sont transformés afin de limiter la croissance des femelles qui transmettent le paludisme.