Africa Top Success Ils font l'Afrique
Alors que la Cedeao maintient sa menace d’intervention militaire au Niger pour y « rétablir l’ordre constitutionnel », tout en donnant la priorité à la diplomatie pour résoudre la crise, Ibrahima Mémounatou, la vice-président de l’Assemblée nationale togolaise et membre du parlement de l’institution sous-régionale, vient d’exprimer sa désapprobation vis à vis de l’option militaire. Une position qui reflète, par ricochet, celle du Togo.
Un pays de l’Afrique de l’ouest dirigé par Faure Gnassingbé qui, selon les indiscrétions, aurait déjà pris attache avec la junte nigérienne au pouvoir.
« Nous exhortons au dialogue, pour un retour à l’ordre constitutionnel, comme le préconise l’article 58 du traité révisé. On ne saurait éteindre le feu par le feu, et notre père de la nation nous a toujours dis que nous savons quand et comment cela commence, mais nous ne savons pas comment cela va finir », a indiqué samedi dernier, la députée togolaise, lors d’une session extraordinaire virtuelle du parlement de la Cedeao.
« Nous n’avons pas encore fini avec nos problèmes de développement, nos problèmes de terrorisme, pourquoi allons-nous encore en rajouter sur une situation déjà délétère. En tant que femme et en tant que représentante du peuple, je ne saurai cautionner une option de guerre dans un pays frère qu’est le Niger. Ce sont les femmes, les civils et les enfants qui vont en pâtir. Alors nous préconisons le dialogue », a-t-elle ajouté lors de cette session.
A noter que 23 membres sur les 115 que compte le parlement de la Cedeao ont pris part aux discussions virtuelles lors de cette session extraordinaire.
Et l’on apprend que sur les 21 interventions enregistrées par la plénière, la majorité s’est dite opposée à une quelconque intervention militaire au Niger, deux ont donné leur feu vert et une abstention.
Bonjour madame la bp
C’est très bien je suis à 100 pour 100 d’accord avec vous. Que Dieu vous bénisse pour se message lancé merci et merci infiniment 🙏
Oh Afrique mon Afrique quand on serait indépendant et toujours les occidentaux continuent à nous colonisé.
Prenons nos destins en mains et que nos dirigeants cessent de suivre les occidentaux.cedt eux qui tuent les paisibles citoyens africains.
Au Niger c’est une dialogue qui serait a la page mais l’option militaire n’est pas la bien venus mci