Vertement critiqué depuis qu’il a été nommé ministre de l’Europe et des Affaires Etrangères, Stéphane Séjourné ne cesse d’accumuler des fautes de français. Mais selon la presse française, il y aurait une explication à tout cela.
Pour son premier déplacement, à Kiev, en Ukraine, il s’est distingué une première fois en déclarant : « Ce sera l’occasion de « voir pour nous » ce qu’ont besoin les Ukrainiens ».
Plus tard, lors d’une conférence de presse, Stéphane Séjourné a récidivé en déclarant : « C’est en Ukraine que se joue aujourd’hui la défense des principes « fondamentals » du droit international ».
Des fautes à répétition qui sont vivement pointées du doigts sur les réseaux sociaux, beaucoup se disant alarmés qu’un ministre maîtrise si mal la langue de Molière.
Si Stéphane Séjourné n’a pas réagi à ces violentes critiques, plusieurs médias ont déterré un portrait réalisé par Libération en novembre dernier, dans lequel il était expliqué que l’homme politique était « un enfant dyslexique » qui « reste mal à l’aise avec la prise de parole« .
En 2021, Le Monde écrivait aussi de Stéphane Séjourné qu’il « parle peu ».
Par ailleurs, l’ex-compagnon de Gabriel Attal a fait une grande partie de sa scolarité au Mexique, en Espagne et en Argentine, de ce fait il serait « bien plus décontracté » en espagnol « que quand il s’exprime en français ».
Suffisant pour convaincre ses détracteurs ?