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Selon plusieurs organisations de défense des droits de l’homme, le gouvernement kenyan aurait fait infiltrer des policiers en civils dans les manifestations pour arrêter et poursuivre les manifestants. La communauté internationale appelle au dialogue et à l’apaisement.
Cette journée de mercredi, tout comme les précédentes, a été marquée par des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre. L’ONG Amnesty international dit avoir recensé « au moins 30 cas » de personnes tuées par des policiers depuis le début du mouvement de protestation en mars, rapporte Rfi.
L’appel de l’opposant Raila Odinga à poursuivre les manifestations contre la vie chère pendant trois jours successifs a été peu suivie ce jeudi 21 juillet, en ce deuxième jour.
« Profondément préoccupé par l’escalade de la violence, le conflit et la perte de vies humaines » dans le pays, le Commonwealth appelle tous les dirigeants et toutes les communautés à privilégier le dialogue.
