Après leur passage devant le tribunal, seules deux des six sages-femmes ont été relaxées, les quatre autres ont été inculpées de la peine d’un an de prison dont un mois ferme.
L’affaire « Astou Sokhna », du nom d’une femme enceinte de 9 mois décédée en couches à l’hôpital de Louga, a secoué il y a quelques jours le Sénégal et le monde entier.
Ces professionnelles de la santé sont accusées de « non-assistance à personne en danger » mais la loi doit être appliquée de façon « bienveillante ».
Pour la défense, ces condamnations sont « injustes ».