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Afrique du Sud: Ramaphosa contre un éventuel « favoritisme » pour Zuma

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Alors que l’avenir du chef de l’Etat sud-africain, Jacob Zuma continue d’alimenter les débats, Cyril Ramaphosa, le nouveau président du  Congrès national africain (ANC) a fait savoir que le successeur de Nelson Mandela  ne bénéficierait d’aucun « passe-droit » dans les affaires de corruption.

Dans un entretien accordé à nos confrères de BBC, il a estimé qu’il y a un Etat de droit qu’il faudrait respecter et que  » la population tient à ce que justice soit rendue sans peur, sans passe-droit, sans a priori ».

D’après lui, « tout ce qui concerne le président Zuma devra suivre le cours normal de la justice ».

Cyril Ramaphosa, 65 ans, a succédé à Jacob Zuma à la tête du Congrès national africain (ANC) au pouvoir depuis 1994. Cyril prendra donc les rênes du pays si le parti venait à remporter les élections générales prévues en 2019.

Pour rappel, le président Zuma est accusé d’avoir violé la constitution en utilisant des fonds publics pour réaménager sa résidence privée de Nkandla.

En fin premier trimestre 2016, la Cour constitutionnelle avait ordonné au président Jacob Zuma de rembourser dans un délai d’un mois et demi, une partie des frais de sa propriété privée, payés par le contribuable.




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