C’est le titre de notre confrère en ligne, WakatSéra, qui tire à boulet rouge sur les hautes sphères du pouvoir militaire au Mali. Ceci, après qu’une dizaine d’officiers, aient été promus.
Parmi eux, le colonel Assimi Goïta et quatre autres membres de la junte, ont été nommés généraux.
« Mali : le premier cercle très fermé d’Assimi Goïta », titre Jeune Afrique.
« Il y a quelques jours encore, il était le colonel Assimi Goïta. Il est désormais général (d’armée), le plus haut gradé de l’armée malienne, pointe le site panafricain. Avant de se hisser sur le fauteuil présidentiel, à l’issue du « putsch dans le putsch » de mai 2021, le tombeur d’Ibrahim Boubacar Keïta était vice-président de la transition. Si ses soutiens en ont fait le porte-étendard du « Mali Kura » (le Mali nouveau en bambara) et de la souveraineté retrouvée, l’ancien commandant des Forces spéciales cultive la discrétion, relève encore Jeune Afrique. Quand les uns le décrivent comme un homme « secret », les autres y voient une gestion du pouvoir « bunkerisée et paranoïaque ». Beaucoup ont spéculé sur les rivalités qui l’opposent au quarteron d’officiers avec qui il a mené le coup d’État du 18 août 2020, mais le chef de la junte semble maintenir l’équilibre avec ses frères d’armes, qui se sont partagés les postes stratégiques », commente le magazine panafricain.
L’Observateur Paalga écrit pour sa part : « voilà donc que le locataire du Palais de Koulouba et ses camarades ne trouvent pas mieux à faire que de se bombarder généraux. On a beau chercher, on se demande en quoi ces nominations vont booster la lutte contre le terrorisme et la reconquête du territoire. (…) Quatre ans après l’arrivée des militaires au pouvoir, force est de reconnaître que les spécialistes de la guerre qui étaient venus pour sauver le Mali sont toujours à la peine nonobstant toute la propagande ambiante qui entoure cette guerre ».
Le Secrétaire Général du Ministère du Plan a salué les efforts de la Banque mondiale et a souligné le travail de l’administrateur pour prolonger le Projet WACA ResIP-Togo. Sous son mandat, le portefeuille de la Banque mondiale au Togo a progressé de 900 millions à 1,21 milliard de dollars, ajoute-t-on.
De plus, la Banque mondiale a approuvé un nouveau cadre de partenariat, permettant de mobiliser 1,5 milliard de dollars pour des investissements dans des secteurs stratégiques tels que l’agriculture et l’énergie.
Notons que M. Bello a également été reçu le lundi 14 octobre par Dr Sandra Ablamba Johnson, ministre et Secrétaire général de la Présidence de la République.
Une rencontre en prélude aux Assemblées annuelles de l’institution prévues du 21 au 28 octobre à Washington a permis de faire le bilan des activités du bureau de l’Administrateur et de discuter des perspectives du partenariat entre le Togo et la Banque mondiale.