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Kenya : les pierres précieuses au service des communautés

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Désormais les négociants en gemmes et en minerais du même genre doivent exporter des produits finis.

Le Kenya est un pays riche en pierres précieuses. Mais ici le tsavorite, le saphir bleu, l’aigue-marine et le rubis sont vendus sous leurs formes non taillées. Une réalité que compte faire évoluer Lucy Githaiga, la présidente de l’Association des femmes dans l‘énergie et l’extraction au Kenya (Awek)

“Nous voudrions être à l’avant-garde, travailler avec le ministère et collaborer avec le gouvernement pour rétablir le Kenya en tant que centre de gemmes et veiller à ce que nous affichions non seulement nos produits, non seulement nos pierres précieuses, mais aussi à ce que tout le processus, au fur et à mesure que le commerce se développe, au fur et à mesure que le marché grandit, puisse catapulter et catalyser l’industrie pour s’engager davantage dans l’ajout de valeur”.

« … les ressources minières sont distribuées équitablement par le gouvernement national ».
Selon la Banque mondiale, le nombre de mineurs artisanaux en Afrique s’est établi à 30 millions en 2016, soit 10 millions de plus qu’il y a 15 ans.

Au Kenya, le gouvernement est déjà en train de revoir le nouveau code minier adopté l’année dernière afin d’attirer de nouveaux acteurs dans le secteur.

“Cette loi vise à promouvoir l’exploitation minière en tant que secteur comme un tout, donc à améliorer le niveau de vie des Kényans, en particulier ceux des communautés riches en minéraux, puisque selon cette loi, les ressources minières sont distribuées équitablement par le gouvernement national et nous avons inscrit cela dans la loi”, a insisté le secrétaire d‘État aux mines Dan Kazungu.

La reconnaissance et le soutien du gouvernement devraient stimuler l’industrie en donnant davantage de permis aux mineurs à petite échelle et en contribuant aux recettes fiscales après des années de commerce illicite et de trafic de gemmes hors du pays.

Source: africanews.com




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