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Trois ans après les violences du 1er mai 2018, Alexandre Benalla fait face à la justice. Le procès de l’ancien collaborateur du président français qui s’est ouvert lundi 13 septembre, est jugé entre autres, pour « violences volontaires en réunion ».
L’ancien chargé de mission à l’Élysée est notamment poursuivi pour s’en être pris à plusieurs personnes lors des manifestations du 1er-Mai, en 2018, et notamment à un couple. Il risque trois ans de prison.
A noter que le palais de l’Élysée est soupçonné d’avoir couvert l’affaire.
Au lendemain des faits, Alexandre Benalla n’a écopé que de 15 jours de suspension.
Il faudra les révélations du Monde pour qu’il soit licencié et que le parquet de Paris ouvre une enquête.
Plus de trois ans après, le procès va commencer.
