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A la découverte de « La légende de Wazal » qui raconte l’Afrique autrement

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AYISSI NGA Joseph-Mari, le célèbre styliste qui habille tant bien les célébrités que les personnalités, a plusieurs cordes à son arc. Pour ce franco- camerounais, allier passion de la couture et l’écriture, est tout à fait possible.

Le créateur de la griffe « Wazal » raconte sa vie, son Afrique comme il l’aime à travers une bande dessinée intitulé « La légende de Wazal ». Loin d’être une histoire pour se divertir, « La légende de Wazal » est un conte qui s’est fixé pour but de présenter cette partie de l’Afrique (la région du bassin du Lac Tchad et les pays qui composent cette région, dont le Cameroun) à travers les paysages, l’architecture, les coutumes, les interdits, les rituels, les cultures vestimentaires, les étoffes, les accessoires, les coiffures, les couleurs de la vie quotidienne entre autres.

« A travers la bande dessinée la légende de Wazal je raconte ma culture, ma source d’inspiration, mon don, ma passion pour la mode que j’ai reçu de mon défunt père, le couturier Ayissi Nga Pierre Célestin », a souligné l’auteur.

Il faut noter que « WAZAL » est tiré de WAZA, nom d’un parc naturel au Cameroun et de la lettre « L » de Lion, animal symbole de ce pays. Le parc naturel inspirant le respect et le lion, la puissance.

AYISSI NGA Joseph-Mari, présente une autre vision de l’Afrique, un retour à la source à travers la beauté et l’identité même des africains dans « La légende de Wazal ». Dans la couture, les coupes Wazal sont futuristes et modernes, suivants les dernières tendances d’aujourd’hui.

Suivez l’artiste sur ses différentes compte (Facebook Wazal Couture / Facebook Wazal Ayissi /Google Wazal Couture / Twitter Wazal Couture/Instagram Wazal Couture), pour d’éventuelles commandes et pour la suite de la bande dessinée « La légende de Wazal » dont voici un extrait:

« Il était une fois, à l’extrême Nord du Cameroun, dans un petit village nommé WAZALVILLE, vivait un peuple, les Wazalgeois. Dans ce petit royaume, riche en ressources naturelles et en traditions, les habitants vivaient en harmonie avec la beauté de la faune et de la nature qui les entouraient, de la terre rouge qui les nourrissait et des esprits qui les protégeaient. C’était un petit paradis sur terre, un véritable havre de paix où le vent doux faisait murmurer les feuilles des arbres et où le ruissellement des eaux miroitantes et le chant paisible des oiseaux apportaient un charme au décor dès ses petites cases faites d’argile, de bois et de paille. Les villageois étaient réveillés chaque matin au chant du coq. Les marchands ambulants arrivaient alors pour vendre des beignets de maïs et de manioc tant appréciés par les villageois. Ils avaient pris l’habitude, avant de se rendre aux champs, à la chasse où à leur labeur, de s’assoir ensemble sur des bancs de touche appelés beignétariats : là, ils dégustaient, tout en devisant, les beignets-haricots-bouillie, le mets le plus apprécié de tous les camerounais, riches ou pauvres…… ».




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