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Cameroun : Paul Biya auréolé par l’Union Panafricaine des Avocats

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Paul-Biya

Le président camerounais, Paul Biya vient d’être distingué par l’Union Panafricaine des Avocats (UPA) pour se « résolution pacifique des conflits ».

Composé d’un trophée et d’un diplôme, ce prix lui a été remis vendredi 06 juin 2014 au Palais de l’Unité par M. Thabo Mbeki, ancien Président de la République d’Afrique du Sud, invité d’honneur de l’UPA.

La cérémonie ses déroulée en présence d’une délégation des membres de l’UPA conduite par Me Akere Muna, président de cette instance, et de Madame Huguette Labelle, présidente de Transparency International.

L’on notait également la présence de quelques proches collaborateurs du Chef de l’Etat camerounais dont le Vice-PM Amadou ALI, le Ministre des Relations Extérieures, Pierre Moukoko Mbonjo, le Ministre, Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh, le Ministre délégué auprès du Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Jean Pierre Fogui, le Directeur adjoint du Cabinet Civil, Joseph LE, et le Conseiller spécial à la Présidence de la République, Luc Sindjoun.

Dans son allocution, le Président Biya s’est félicité de ce prix prestigieux et a exprimé toute sa gratitude à l’Union Panafricaine des Avocats qui a bien voulu le lui attribuer en accord avec l’Union Africaine.

Le Chef de l’Etat a associé à cet honneur ceux qui ont œuvré au règlement pacifique du différend frontalier entre le Nigeria et le Cameroun.

Il s’agit notamment de la Cour Internationale de Justice, de l’ancien Président du Nigeria, Olusegun Obasanjo, et des Chefs d’Etat successifs de ce pays, de l’ancien Secrétaire Général des Nations Unies, Kofi Annan, et de son successeur Ban Ki Moon, ainsi que des quatre Etats témoins de l’Accord de Greentree : Allemagne, Etats-Unis, France et Royaume-Uni.

M Biya a enfin émis le vœu que la force cède définitivement le pas au droit comme solution au règlement de différends entre Etats. Mais, souligne-t-il, « ceci n’est possible que si les Etats reconnaissent la primauté du droit international et le rôle prééminent des Nations Unies ».

 

 

 




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