Accédé au pouvoir après le chaos laissé par son prédécesseur Yaya Jammeh, le président gambien Adama Barrow tente, tant bien que mal, de redresser le pays.
Jeudi dernier, à l’Assemblée Général des Nations Unies, le président s’est engagé en signant cinq traités incluant celui de l’abolition de la peine de mort. Plus question de condamner qui que ce soit pour la peine capitale.
D’après le bureau de la présidence gambienne, « en signant les traités, la Nouvelle-Gambie continue de promouvoir la démocratie et montre l’engagement de l’Etat à protéger la vie des militants politiques ».