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En Mauritanie, c’est le 5 août que devrait se tenir le référendum sur la révision de la constitution tant voulu par le président Mohamed Ould Abdelaziz.
Si les mauritaniens sont appelés à répondre à deux questions, l’une portant sur sur la suppression du Sénat, la création de conseils régionaux… l’autre portant sur l’adjonction, en hommage aux martyrs de la nation, et la modification de quelques paroles de l’hymne national, au sein de l’opposition, pas de question de toucher à la constitution.
De nombreux partis de l’opposition ont donc appelé au boycott du scrutin à travers des manifestations organisées un peu partout dans le pays.
Des manifestations très vite dispersées par la police mauritanienne. Estimant que la force utilisée contre les manifestants était disproportionnée, l’ONU se dit préoccupée par cette situation qui selon elle s’apparente à une privation des libertés.
