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Samuel Eto’o trainé en justice par sa fille en Italie

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L’ancien ballon d’or africain est accusé par sa fille biologique de 21 ans de n’avoir pas respecté une décision de justice qui l’obligeait à verser à cette dernière, une pension alimentaire mensuelle de 10 000 €.

Les accusations portées contre l’actuel président de la Fédération camerounaise de football Samuel Eto’o sont connus.   Le document déposé contre lui auprès de la justice italienne souligne l’indifférence persistante de Samuel Eto’o envers ses obligations morales et légales envers sa fille, malgré une condamnation antérieure en 2015. L’auteure de la plainte, sa fille de 21 ans Annie Barranca, reconnue depuis 2004 par un tribunal de Palma de Mallorca, comme la fille biologique de l’ex-international camerounais à l’issue d’un test ADN confirmé par une décision de justice.

Elle l’accuse notamment pour « non-respect des obligations alimentaires familiales ». La plainte,

Annie affirme que ses tentatives désespérées de contacter son père sont restées vaines, le laissant indifférent à ses obligations familiales. La relation d’Eto’o avec Annie a été tendue, car il n’a jamais fait partie de sa vie. Malgré un accord pour payer à Barranca 10 000 € de pension alimentaire, il est allégué que la star n’a pas respecté cet accord, ce qui a conduit au litige juridique actuel. « Annie n’est pas indépendante financièrement, elle étudie loin de chez elle et a le soutien de sa mère, qui parvient à peine à lui garantir une vie décente. Elle souffre d’une situation psychologique fragile, d’un manque de figure paternelle, ainsi que d’une condition de difficultés économiques », mentionne un document déposé au juge en charge de l’affaire.

En 2022, Une autre de ses filles avait déposé une plainte auprès de la justice espagnole contre Samuel Eto’o. Erika do Rosario Nieves l’avait également accusé de non-paiement de sa pension alimentaire. Le juge avait alors établi que ce dernier devrait verser à sa progéniture une pension mensuelle de 1 400 euros, une décision que ce dernier n’a jamais respecté.

Essama Aloubou




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