Selon des informations, des personnalités influentes de la sous-région ont eu à plaider la cause des deux opposants qui se retrouvent aujourd’hui en prison : Reckya Madougou et Joël Aïvo. Leur destin aurait été moins tragique si le président béninois Patrice Talon n’était pas resté inflexible.
« J’ai eu l’occasion de faire pression fermement auprès des autorités béninoises », a déclaré ce mercredi 12 janvier le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian à l’Assemblée nationale à Paris. Mais, rien n’y fit.
La France et les Etas-Unis par ailleurs n’approuvent pas la détention et la condamnation de Reckya Madougou, ni celle de son compère de combat Joël Aïvo.