A quelques jours de la visite du président français au Bénin, le député français Hubert Julien-Laferrière a saisi dans une lettre, Emmanuel Macron, sur les conditions de détention des opposants Joël Aïvo et Reckya Madougou, et une démocratie à double vitesse sous le régime de Talon.
Condamnés en décembre 2021, respectivement à 20 et 10 ans de prison ferme pour « financement de terrorisme » et « atteinte à la sûreté de l’Etat », Reckya Madougou et Joël Aïvo croupissent en prison depuis plus d’un an.
Et le chef de l’Etat Patrice Talon n’envisage pas de gracier les deux opposants.
Plus de détails, dans cet article de nos confrères de Banouto :