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Le samedi 15 septembre dernier, les militants du Parti national panafricain (PNP), section de Mango, ont été dispersés à coup de gaz lacrymogènes par les forces de l’ordre et de sécurité, alors qu’ils tenaient leur réunion hebdomadaire. Une énième violence contre les membres du parti que Tikpi Atchadam et ses acolytes ne comptent pas passer sous silence.
Le parti à l’emblème au cheval dit condamner ces violences faites à ses militants, appelle l’opinion nationale et internationale à témoin et rappelle au régime au pouvoir, que ces agissements sont loin de décourager le peuple togolais dans sa lutte pour la liberté.
« Le parti national panafricain ne se lassera jamais de dénoncer, de condamner et d’exposer à la face du monde entier ce déni des libertés individuelles et collectives de la part d’une dictature cinquantenaire », précise un communiqué du parti.
« Le PNP tient à rappeler au pouvoir que de tels agissements n’entament en rien la détermination du peuple togolais tout entier décidé à obtenir la première alternance dans notre pays le Togo », poursuit le communiqué, rapporté par le confère IciLome.
Ayant, à plusieurs reprises et dans différents localités, été la cible des forces de l’ordre, le parti dit condamner avec la dernière rigueur cette illégalité et acharnement que rien ne justifie.
