BizME.fr Freelances, plus forts ensemble.
Accueil / Africa top success / Tunisie: le boycott des examens du 1er trimestre maintenu

Tunisie: le boycott des examens du 1er trimestre maintenu

Partagez ceci :

On l’a si bien dit, en Tunisie, c’est presque tous les secteurs importants qui sont gangrenés par des grèves et autre manifestations et sit-in. Des actions qui varient d’un secteur à l’autre, mais tout le monde s’accorde à dire que cette situation n’est pas enviable, dans la mesure où elle nuit plus qu’elle ne rende service. Néanmoins, d’autres s’accordent à dire que sans ces actions, les citoyens et autres organismes et syndicats n’obtiendraient pas gain de cause. Autrement dit, leurs doléances resteraient « Lettres mortes ».

Ainsi donc, et parmi ces secteurs gangrenés par les grèves, on retrouve celui de l’éducation nationale, où que ce soit les enseignants, les élèves ou autres se lamentent soit du manque des moyens appropriés ou bien que les salaires ne sont pas consistants, autrement dit insuffisants.

 Ça parle donc du boycott des examens du premier trimestre dans les trois paliers de l’éducation dans ce pays (Primaire, collège d’enseignement moyen et du secondaire). Cette décision de maintien du boycott des examens du 1er trimestre aurait été décidée, après concertations.

D’ailleurs le secrétaire générale de l’union générale des travailleurs tunisiens, H.Hfaïedh en l’occurrence aurait déclaré que lors de la réunion tenue dernièrement entre le gouvernement et le syndicat de l’enseignement, la partie gouvernementale a surpris les syndicalistes en annonçant qu’elle était revenue sur ses engagements passés.

Il aurait annoncé en outre que cette démarche du gouvernement, qui selon les observateurs s’entêterait à régler les doléances posées sur la table, serait de ce fait très dangereuse. Ladite démarche qui constituerait une mesure d’escalade à l’encontre de la partie syndicale. Il aurait également annoncé que le mot d’ordre du boycott des examens de la fin du premier trimestre restait de mise.

Au sein des familles tunisiennes, tout le monde s’accorde à dire que cette situation n’arrangerait pas leurs progénitures, et que par conséquent souhaitent une sortie rapide de la crise qui secoue le secteur de l’éducation et ce à tous les niveaux.




Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Traduction »