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S’il y a des établissements publiques dans l’enseignement supérieur, c’est que ces derniers sont gérés par l’état, d’où une meilleure organisation possible et une administration digne d’une université. Mais en ce qui concerne les écoles privées, ça devient des fois utopiques de croire qu’ils pourraient concurrencer ceux qui sont du secteur étatique.
Non seulement, le trafic est omniprésent, mais aussi la qualité des cours n’est pas élevée, en sus du fait que ces écoles ou universités privées n’offrent pas les meilleures conditions pour qu’un étudiant s’occupe de ses cours et de son cursus universitaire du début jusqu’à la fin. Au lieu de cela, c’est le contraire qui se produisit dans les écoles et autres universités privées.
En Tunisie, le nombre des écoles privées s’accroit d’année en année, et rares où on retrouve des régions sans école supérieure, campus ou pôle universitaire. Plusieurs écoles manqueraient des moyens pédagogiques et d’autres des profs et d’autres où des étudiants se rétractent aux dernières minutes, après s’être inscrits.
Bref, dans ce pays qu’est la Tunisie, on avance qu’un fait rare vient de se produire, et où le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique conduit par Slim Khalbous aurait déclaré lors d’une séance d’audition devant la commission des jeunes, des affaires culturelles, de l’éducation de la recherche scientifique, que son ministère a procédé à la fermeture d’un établissement privé d’enseignement supérieur.
Ladite décision a été prise et ce après avoir découvert que l’établissement fournirait des diplômes à des étudiants étrangers qui n’ont jamais étudié dans cet établissement. Comme c’est noté que certains étudiants ne se trouveraient même pas sur le territoire et le sol tunisien. Ceci sans donner trop de détails, ni sur la nature de la fermeture de l’établissement en question.
