Je ne me sentirai jamais libre tant que des femmes seront mutilées ou violees. Je ne me sentirai jamais libre également tant que des jeunes filles risquerons l’acide car elles veulent apprendre à lire et à écrire. J’ai longtemps pensé que les princes c’étaient comme les héros morts au combat ou déserteurs. Mais il y a de l’espoir il y a toujours de l’espoir quand je vois le travail accompli par le merveilleux Docteur Denis Mukwege.
L’homme qui répare les femmes j’ai une amie d’origine malienne et qui se reconnaîtra car je l’appelle affectueusement ma panthère par sa beauté envoûtante, a eu à subir l’excision quand elle était enfant au nom de la tradition. Elle est mutilée et elle garde encore cette immense blessure en elle. Pour mon amie et pour toutes les filles qui ont eu à subir cela, je leur dédie mon prochain billet et à ce prince des temps modernes qui est ce grand Monsieur qui méritait largement le prix Nobel de la paix !