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On l’a dit et on le redira encore, le maintien par le gouvernement marocain de l’horaire de l’été, soit la GMT +01 et ce en période hivernale est mal vu par les marocains, avec les premières manifestations et autres contestations qui ont eu lieu dernièrement, notamment, au niveau des établissements scolaires du pays, ou les élèves des différents palier (Primaire, Moyen et secondaire) sont sortis pour réclamer haut et fort que cette horaire ne les arrange pas en hiver, avec les journées qui deviennent réduites, de par le coucher du soleil aussi.
La décision du gouvernement marocain annoncée durant la dernière semaine du mois d’Octobre passé, avec le maintien définitif de l’horaire de l’été pour l’hiver, deux semaines après, le gouvernement réfléchirait à faire marche arrière, soit annuler cette décision, dont la protestation ne cesse de dénigrer, dans la mesure où elle n’arrange nullement, non seulement les élèves des différents paliers, mais aussi les travailleurs des différents secteurs, économique, sociale…ou autres.
Les signes forts de la possibilité de ne pas appliquer cette décision de maintien du GMT +01, est cette annonce faite par le ministre délégué chargé de la reforme de l’administration et de la fonction publique, qui aurait déclaré que cette prise pourrait intervenir en avril prochain. « L’application définitive de cette mesure est liée aux résultats de l’étude d’impact commandée par le gouvernement sur les conséquences de l’adoption du GMT+01. », aurait-i déclaré. Le gouvernement jurerait que cette décision a été prise suite à une étude d’un cabinet indépendant et dont les résultats seront publiés au début de l’année prochaine.
C’est annoncé également que l’adoption du GMT+01 portera sur la période hivernale de novembre 2018 à avril 2019, et à la lumière de ces résultats, le gouvernement prendra une décision définitive. Il faut dire que le gouvernement marocain fait face depuis quelques jours à des manifestations de lycéens et d’étudiants dans la plupart des villes à travers le Maroc et malgré quelques aménagements, notamment au niveau des horaires d’entrée et de sortie ainsi que les pauses, la tension est toujours présente.
