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La 3è conférence ministérielle « Finances et investissement du Dialogue 5+5 » s’est tenue hier Dimanche au niveau du centre international des conférences se trouvant dans la capitale algérienne, Alger. Une conférences sous le thème « Défis communs, solutions communes ».
Durant cette conférence, le ministre algérien des finances, Abderrahmane Raouya aurait mis en avant la contribution ininterrompue de l’Algérie, afin de faire de la Méditerranée, notamment son bassin occidental, une zone de paix, de stabilité et de prospérité partagée. Ceci ne peut se concrétiser sans la consolidation de la coopération régionale et le renforcement des liens entre les peuples qui font face à des destins communs.
Ce dialogue 5+5 est vu comme un cadre approprié, une opportunité qui permettrait le cas échéant d’aborder tous les sujets, de libre échange et la manière de réfléchir à des solutions concrètes et opérationnelles. Ceci permettrait de relever les défis auxquels fait face la région.
Les pays membre dudit dialogue sont plus que jamais prêts à développer et à renforcer le dialogue et la concertation qui doivent être menés de manière régulière afin d’aborder, avec l’attention voulue, et d’examiner, dans un esprit de confiance et de compréhension mutuelle, les difficultés de l’époque auxquelles fait face la région.
Le rapprochement des points de vue, la coordination des positions et la conjugaison des efforts sont des points soulignés par le ministre algérien des finance, et ce, dit-il afin de concevoir des réponses communes aux préoccupations que les pays membres du dialogue 5+5 partagent.
Un débat franc autour de sujets d’intérêt commun, et procéder l’échange d’expérience indispensable afin d’imaginer ensemble et proposer des solutions basées les meilleures pratiques, tels sont les points essentiels de la région d’Alger.
De son côté, le ministre français de l’économie et des finances, Monsieur Bruno Le Maire, ce dernier a relevé le caractère efficace de cette réunion « 5+5 ». Il a, à cet effet précisé que des défis communs imposent des solutions concrètes dans un cadre de coopération. Pour lui, il y’a une nécessité de disposer d’un cadre de pensée commune, et définir ensemble les grands enjeux.
