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En Mauritanie, un projet nommé « Promo Pêche » a vu le jour entre les acteurs de la pêche de ce pays et ceux dits « Étrangers ». Qu’ils soient des agents, des partenaires techniques et financiers, entre autres le bureau international du travail, ou des mareyeurs, tout le monde s’est réuni pour faire le point sur ledit projet. Un atelier qui a eu lieu dans la capitale mauritanienne, Nouakchott en l’occurrence, et organisé par le bureau Mauritanie du bureau international du travail.
Ledit atelier entrant dans le cadre des accords de pêche entre ce pays et l’union européenne, où un anniversaire a été célébré en 2017. Ainsi donc, et durant deux jours (Hier Mardi et avant-hier Lundi), les participants ont échangé des idées en débattant sur le sujets relatifs au développement du projet en uestion et ce à travers des exposés.
Si on parle sur le programme, il aurait comme objectif principal le renforcement du secteur de la pêche artisanale et de faire tout pour contribuer à la création d’emplois décents pour les jeunes hommes et femmes mauritaniens, entre autres. Ce qui a dominé les débats serait cette question de la mise en place du projet de point de débarquement aménagé pour les pêcheurs artisanaux mauritaniens.
A cet effet, Monsieur Fedrico Barroeta du point focal du bureau international du travail à Nouakchott en Mauritanie, aurait laissé entendre que l’objectif de cette rencontre serait sans doute la création d’une synergie autour du secteur de pêche en Mauritanie. Cela sous-entend bien entendu l’implication de tous les acteurs nationaux et étrangers. Ce qui permettrait dans ce cas d’aller à des infrastructures qui devraient s’adapter aux besoins du marché, tout en améliorant l’employabilité des jeunes, qui en ont grandement besoin.
Sur un autre registre et du coté du représentant de l’Union Européenne, en la personne de Monsieur Colombo Emrico, ce dernier aurait mis l’accent sur la problématique des PDA, qui peuvent contribuer de manière significative à la valorisation du potentiel de la pêche artisanale. Soulignons juste que ledit projet qui a été lancé au mois de Mai 2018, a été financé à hauteur de 27 millions d’Euros, dont les fonds qui provenaient essentiellement du fonds fiduciaire d’urgence de l’UE pour l’Afrique ainsi que d’une contribution de l’Allemagne.
