Dans un rapport, le réseau social Facebook a publié un aperçu de ses activités en 2019. Une partie de ses investissements a contribué à mener différentes actions en Afrique subsaharienne. Que retenir du parcours des douze derniers mois ? Voici un extrait du rapport.
En 2019, l’engagement de Facebook en Afrique subsaharienne a représenté:
- Plus de 7 000 femmes entrepreneurs à travers toute l’Afrique subsaharienne formées aux outils numériques ;
- 79 rencontres des cercles de leaders de communauté auxquelles ont assisté plus de 2 650 personnes ;
- 45 Cercles des Développeurs, avec des cercles maintenant dans 17 pays africains et regroupant plus de 70 000 membres ;
- La tenue de la toute première conférence iD8 à Nairobi avec la participation de plus de 400 startups et développeurs africains ;
- Le lancement du programme Boost Avec Facebook dans six pays en Afrique francophone ;
- L’extension du programme de vérification des faits par des tiers à 10 pays supplémentaires en Afrique sub-saharienne ;
- L’annonce de la création des cartes de densité de population en Afrique les plus détaillées au monde, créées par des chercheurs en intelligence artificielle de Facebook pour aider les organismes d’aide humanitaire et de secours ;
Cette liste non exhaustive se résume principalement au soutien de Facebook auprès de l’écosystème des développeurs, entrepreneurs, créateurs et de nombreuses autres communautés sur le continent africain. C’est d’ailleurs l’une des priorités du réseau crée par Marc Zukerberg.
« L’Afrique compte énormément pour Facebook, et nous sommes déterminés à investir dans sa jeunesse, ses entrepreneurs, ses industries créatives, son écosystème technologique ainsi que dans ses nombreuses autres communautés. Notre bilan de l’année 2019 met en lumière quelques-uns de ces investissements et l’impact que nous avons pu avoir », a commenté Nunu Ntshingila, directrice régionale de Facebook pour l’Afrique.