Le Sommet Italie-Afrique s’est ouvert ce lundi 29 janvier à Rome. Une vingtaine de chefs d’États et de gouvernements africains prennent par à cette rencontre de haut niveau.
Après l’ouverture des travaux, la cheffe du gouvernement italien a présenté dans les grandes lignes les objectifs de son « Plan Mattei » pour l’Afrique.
Georgia Meloni affirme vouloir écrire « une nouvelle page » dans les relations avec le continent, avec une approche « non-prédatrice ».
Ceci, avec une approche « non-prédatrice » et pleine de « compassion ».
En tout cas, ce sont les mots que Georgia Meloni a employés à la tribune.
En d’autres termes, la cheffe du gouvernement italien veut faire de l’Italie un « pont » entre l’Europe et l’Afrique, un « hub » énergétique par lequel les ressources africaines pourraient transiter dans le futur.
La présidente du Conseil des ministres italien a longuement insisté sur le « potentiel » du continent : potentiel humain, potentiel agricole, mais aussi énergétique.
Des ressources dont l’Italie compte bien profiter. L’idée est de lier le futur du pays à celui du continent.